Sujet: On a retrouvé le cœur de la reine ! ¤ Feat. Layla Ven 25 Avr - 18:46
On a retrouvé le cœur de la reine ! Ft. Layla & Asha
Grand maman m'avais tellement énervée lors de notre lunch du dimanche que j'avais pris mes clics et mes clac et claquer la porte, partant en pétant tête haute et laissant en plan, au passage le reste de la communauté élitaire célébrant notre affluence monétaire en grande pompe, petit ami parfait et meilleure amie compris. J'avais ordonnée à mon chauffeur de me déposé ici, à central park ou j'avais commencer à déambuler sur mes Manolo avant de m’asseoir sur un banc pour fumée une cigarette en regardant le grand étendue d'eau ce mouvoir sous la torture d'un vent d'automne naissant. Alors que mon regard balaye le décors atypique d'un New York en pleine journée, mes pensées elles s'envolent aux grès de réflexions morne. Pour grand maman, la danse n'est qu'un loisir, une distraction. Pour elle, ce n'est pas un avenir tangible ni même une possibilité à envisager. Bien sûre, je devrais reprendre son entreprise, son magasine féminin, devenir elle en somme. Et pourquoi moi ? Pourquoi pas Kate ? Pourquoi pas une autre ? Cette femme me met une telle pression, et pour rien en plus ! Moi ce que je veux c'est faire l'académie de danse de Manhattan. Mais qui finance les études ? Elle et papa bien sûre, je suis las d'être marionnette. Las de cette vie que beaucoup envie sans ce rendre compte que tous ce que l'ont as, tous ce qui fait bavé le citoyens moyen à un lourd prix à payer. Celui de notre liberté, de notre âme, de notre intégrité.
Je soupire et me relève alors que mon mégot va s'écraser sur la surface plane de l’étant. Je ressert l'emprise de mon sac à main sur mon épaule et marche tête haute en direction de l'avenue, dans le but d'attraper un taxi en vol, je fuis ma limousine. Cependant, en passant devant un vieux tacos en piteux état j'aperçois dormir une silhouette que je reconnais à l'intérieur, cette fille je la connais. Elle n'est pas à Constance, mais je l'ai déjà croisé. C'est un de ses outsider à qui je rend la vie encore plus misérable qu'elle n'est. Cette fille ne m'aime pas, je le sais, j'ai tout fait pour. Pourtant, allez savoir pourquoi, je me met à tapoter à la vitre. Les sourcil froncé je la vois bouger. C'est déjà ça, au moins elle n'est pas morte. J'insiste un peu plus, je m'adresse même à elle « Debout la belle au bois dormant ». Ce n'est pas vraiment de la pitié, ce n'est pas mon genre d'éprouver ce genre de chose. C'est plutôt l'envie de ne pas être seule conjuguer au fait que mes bons côté s'éveille parfois. J'ai bien dit parfois. Enfin bon côté... Ils sont surtout diriger par ma curiosité. Était-elle trop défoncée pour conduire ? Vit-elle dans sa voiture ? Qu'est-ce qui pousse quelqu'un à taper une sieste aussi profonde dans une bagnole un dimanche en début d'après midi ?
Sujet: Re: On a retrouvé le cœur de la reine ! ¤ Feat. Layla Dim 27 Avr - 16:28
Asha Ҩ Layla
On a retrouvé le coeur de la reine
Endormie dans ma voiture, je suis dans une bulle et c'est le seul moyen que j'ai bien pu trouver de m'échapper de ce monde. J'ai décidé de revenir à New York il y a une semaine, et ces deux derniers jours, je n'ai pas du tout dormi pour la simple et bonne raison que j'ai voulu me dépêcher. Je voulais revoir ma fille, que j'ai abandonnée à ma sœur. Charlotte, elle aussi, me manquait. Charlotte. Elle est comme ma sœur, j'ai grandi avec elle, et c'est grâce à sa mère si je ne suis pas devenue une alcoolique finie. Que je ne suis pas devenue comme ma mère. Et pourtant, sans même nommer ma chair, mon sang, j'ai choisi de l'abandonner. Ce ne fut pas une décision facile et je la regrette énormément. Mon ventre se serre, et je bouge dans le peu de place que m'offre cette vieille voiture sentant le tabac et le parfum bon marché. J'entends tapoter à la porte de la voiture et je fronce les sourcils, allant pour ouvrir les yeux mais je suis aveuglée par le soleil. On doit être le midi environs. Mon ventre grogne, et je grogne comme si je voulais lui répondre. J'ai faim, j'ai soif, et je n'ai pas un sou. « Debout la belle au bois dormant » Je fronce les sourcils. C'est qui, cette personne qui me parle ? Je me redresse et je me recoiffe, plissant les yeux pour ne pas être aveuglée par le soleil. Je redresse mon siège qui grince et couine affreusement et je serre les dents, puisque je déteste au plus haut point ce putain de bruit. Je me tourne vers l'inconnue qui s'est adressée à moi. Pas si inconnue que ça ; pratiquement tout le monde en a entendu parler, si je ne me trompe pas, c'est une de ces grosses riches qui cassent du sucre sur le dos des gens comme moi, qui ne sont pas nés avec une cuillère en argent dans la bouche. Si je voulais, je pourrais plutôt bien m'en sortir, mais vu que je suis relativement paresseuse, j'ai arrêté le lycée avant même d'avoir mon diplôme puisque je ne supportais pas les cours. Et au lieu de chercher un métier qui gagnait bien, j'ai préféré enchaîner les petits boulots à la con histoire de ne pas finir dans la même situation que celle dans laquelle je me trouve en ce moment. Je sors de la voiture, un paquet de cigarettes à la main vu qu'il m'en reste encore. « Oui ? Il y a un problème ? » Je lui demande en allumant ma clope, savourant la sensation de la nicotine puisqu'il s'agit d'une de mes dernières dans le paquet.
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Grand maman m'avais tellement énervée lors de notre lunch du dimanche que j'avais pris mes clics et mes clac et claquer la porte, partant en pétant tête haute et laissant en plan, au passage le reste de la communauté élitaire célébrant notre affluence monétaire en grande pompe, petit ami parfait et meilleure amie compris. J'avais ordonnée à mon chauffeur de me déposé ici, à central park ou j'avais commencer à déambuler sur mes Manolo avant de m’asseoir sur un banc pour fumée une cigarette en regardant le grand étendue d'eau ce mouvoir sous la torture d'un vent d'automne naissant. 
Alors que mon regard balaye le décors atypique d'un New York en pleine journée, mes pensées elles s'envolent aux grès de réflexions morne. Pour grand maman, la danse n'est qu'un loisir, une distraction. Pour elle, ce n'est pas un avenir tangible ni même une possibilité à envisager. Bien sûre, je devrais reprendre son entreprise, son magasine féminin, devenir elle en somme. Et pourquoi moi ? Pourquoi pas Kate ? Pourquoi pas une autre ? Cette femme me met une telle pression, et pour rien en plus ! Moi ce que je veux c'est faire l'académie de danse de Manhattan. Mais qui finance les études ? Elle et papa bien sûre, je suis las d'être marionnette. Las de cette vie que beaucoup envie sans ce rendre compte que tous ce que l'ont as, tous ce qui fait bavé le citoyens moyen à un lourd prix à payer. Celui de notre liberté, de notre âme, de notre intégrité.
Je soupire et me relève alors que mon mégot va s'écraser sur la surface plane de l’étant. Je ressert l'emprise de mon sac à main sur mon épaule et marche tête haute en direction de l'avenue, dans le but d'attraper un taxi en vol, je fuis ma limousine. Cependant, en passant devant un vieux tacos en piteux état j'aperçois dormir une silhouette que je reconnais à l'intérieur, cette fille je la connais. Elle n'est pas à Constance, mais je l'ai déjà croisé. C'est un de ses outsider à qui je rend la vie encore plus misérable qu'elle n'est. Cette fille ne m'aime pas, je le sais, j'ai tout fait pour. 
Pourtant, allez savoir pourquoi, je me met à tapoter à la vitre. Les sourcil froncé je la vois bouger. C'est déjà ça, au moins elle n'est pas morte. J'insiste un peu plus, je m'adresse même à elle « Debout la belle au bois dormant ». Ce n'est pas vraiment de la pitié, ce n'est pas mon genre d'éprouver ce genre de chose. C'est plutôt l'envie de ne pas être seule conjuguer au fait que mes bons côté s'éveille parfois. J'ai bien dit parfois. Enfin bon côté... Ils sont surtout diriger par ma curiosité. Était-elle trop défoncée pour conduire ? Vit-elle dans sa voiture ? Qu'est-ce qui pousse quelqu'un à taper une sieste aussi profonde dans une bagnole un dimanche en début d'après midi ? 